War Witness

29 Octobre 2010 une date pas comme les autres dans les annales de la communauté congolaise du Royaume-Uni. Une date de tous les dangers et de tous les enjeux. C’est surtout le jour où l’Alliance des Patriotes pour la Refondation du Congo a choisi pour faire écouter sa voix devant la face du monde au sujet de la mascarade d’élections que Hyppolite Kanambe alias Kabila Joseph et sa clique des alimentaires veulent encore une fois imposer au peuple Congolais.

Par cet appel l’Apareco voudrait prendre à témoin la Communauté internationale sur le danger de la déstabilisation de la République Démocratique du Congo. Ceci veut dire que les Congolais surtout ceux de la diaspora en ont enfin marre d’assister aux tricheries à répétition des élections et surtout de se voir dérober leur droit civique à chaque élection pendant que tous les citoyens des autres pays à travers le monde ont toujours participé aux élections par l’entremise de leurs ambassades respectives.

Un message fort en direction du régime dictatorial de Kinshasa sera adressé par un panel fourni des hauts cadres de l’Apareco, tous proches collaborateurs de Honoré Ngbanda qui, en passant, se fera aussi représenter à ces manifestations, nous signale-t-on des milieux proches de l’Apareco. L’objectif premier de ce message sera entre autre de toucher la corde sensible du peuple congolais surtout ceux restés au pays pour passer à la désobéissance civile au lendemain des élections en cas d’une quelconque auto-proclamation de victoire par l’imposteur Kanambe.

L’Apareco profitera aussi de l’occasion pour adresser une sérieuse mise garde aux lobbies qui trouvent mieux de s’enrichir derrière le dos du peuple congolais en soutenant tant militairement que financièrement un régime manifestement moribond, inefficace et surtout sans soutien populaire.

Les préparatifs vont bon train

Pendant que dans toute la Grande Bretagne à savoir en Ecosse, Birmingham, Leeds, Belfast, Manchester et Londres l’heure est à la veillée d’armes, dans le Nord-Est de l’Angleterre, l’on nous signale qu’aucun détail n’est laissé au hasard. Le Comité provincial dirigé par Mr Verron Munda et son équipe est en train de peaufiner les dernières stratégies pour la réussite de ce grand événement de Londres.

Une commission ad hoc composée par deux géants de la mobilisation et propagande de ce mouvement de résistance en l’occurrence le Conseiller chargé de la Communication et Propagande Kaninda Kasongo et Alfred Kinda Malukisa, ont été chargés de ratisser large dans les villes environnantes de Newcastle principalement dans le Teeside qui regorge les villes telles que Middlesbrough et Stockton.  L’objectif est de réussir une mobilisation tous azimuts dans le Nord-Est d’Angleterre lors de cette matinée politique du 29 Octobre prochain. Sur le terrain l’on peut ainsi noter une montée réelle de tension dans tous les états-majors de l’Apareco où l’on lit une forte détermination d’en finir avec ce régime de la honte.

Abordé par nos reporters, Kaninda Kasongo n’a pas caché son sens patriotique pour faire échec au plan machiavélique de l’homme fort congolais à tricher à ces élections : « les Congolais ne sont plus dupes et ne se laisseront plus faire. Ceci veut simplement dire que les jours de Kabila au pouvoir sont désormais à compter ». Alfred Kinda Malukisa ne va pas par quatre chemins: « le compte à rebours a enfin commencé contre le pouvoir de Kabila. L’Apareco est en train d’assumer son devoir devant l’histoire et la victoire est certaine ». 

Posted by AGENCE FRANCE PRESSE on October 7, 2011

KINSHASA, Oct 7 – Rebels killed five Congolese aid workers and two other civilians in an attack in eastern Democratic Republic of Congo, a UN agency in the country said Thursday.

A statement said the attack blamed on Burundian rebels and a Congolese militia on Tuesday targeted a vehicle transporting members of a local educational group, Eben Ezer, at Fizi, in Sud-Kivu province.

At least two people were wounded.

The UN’s Office for Coordination of Humanitarian Affairs (OCHA) said it was the deadliest attack on aid workers ever recorded in the country and had left colleagues “very shocked”.

“It strengthens the feeling of insecurity which has reigned for several months in humanitarian organisations in the east of the country,” where both local and foreign insurgent groups wage war on each other and the civilian population.

Those responsible were said to be members of the Mai Mai Yakutumba militia and allied rebels of Burundi’s National Liberation Front.

OCHA said that nearly 25 incidents involving aid workers had been recorded since August in Nord-Kivu province and some 15 in neighbouring Sud-Kivu, and nearly 140 all told so far this year.

“These incidents range from hold-ups to hostage-taking and the hijacking of humanitarian vehicles to transport military equipment,” it said.

Former lawmaker Enock Ruberangabo, the national president of an association of Banyamulenges — ethnic Tutsis of Rwandan origin who live in Kivu — told AFP Tuesday’s assailants “clearly said they were looking for ‘Rwandans’, i.e. Banyamulenges”.

“They killed (them) one after the other,” he said, quoting two survivors and four people who were no Banyamulenge and had been released by the attackers.

Ruberangabo said the attack was to fan an “ethnic conflict at the local level”.

“We deeply regret this attack and all the others that hinder the work of humanitarian actors in DRC,” said Pierrette Vu Thi, interim coordinator of humanitarian activities in DR Congo, according to OCHA.

She called on the DR Congo government to immediately open an investigation as the protection of Congolese citizens and members of national and international organisations was the duty of the government.

L’APARECO GAGNE DU TERRAIN DANS LE NORD-EST D’ANGLETERRE

Décidément l’Apareco Nord-Est d’Angleterre gagne du terrain. Hier dans Newcastle la capitale la région nordique d’Angleterre, aujourd’hui ce mouvement politique congolais compte des adeptes dans toute l’étendue de la région à savoir dans le Teeside (Middlesbroug, Stocktown…). Alfred Kinda est l’un des artisans qui, contre vents et marrées, s’est livré au front du combat de libération de son pays,  la Rdc.

Témoins de la guerre: L’alliance des patriotes pour la Refondation du Congo (APARECO), est entre autre aujourd’hui mieux connue dans le Teeside suite à l’important travail de mobilisation que vous abattez. Voulez-vous nous en parler?

Alfred Kinda Malukisa : D’abord je voudrais me vous remercier de l’opportunité que vous m’offrez. Je suis Alfred Kinda Malukisa. Oui, c’est vrai je suis chargé de la mobilisation au sein de l’Apareco principalement dans le Teeside et aussi dans le Tyne and Wear. Je jouis de la confiance de la hiérarchie de notre organisation pour propager le message de l’Apareco principalement dans les milieux congolais de Teeside et aussi de Tyne and Wear ou je fais souvent des navettes.

T. G : La mobilisation politique a toujours été un travail tres périlleux surtout dans le contexte de votre pays, la RDC. A quoi ressemble alors une journée de mobilisation pour vous ?

A. K. M : Matin, midi, soir. Comme qui dirait : un «full time job » pour mon pays. Le travail de mobilisation politique que je fais au sein de l’Apareco dans sa branche du Nord-Est d’Angleterre est certes dangereux comme vous le dites mais aussi passionnant au regard de l’idéal politique que je me suis donné pour mon cher et beau pays. La mobilisation politique est le rôle dans lequel je me sens le plus à l’aise car, de nature je suis un homme qui aborde facilement les gens, je fréquente beaucoup de milieux et je suis aussi accepté dans tous les milieux congolais. C’est donc un atout majeur pour moi de faire bénéficier à mon organisation les talents que j’ai afin que le message de l’Apareco atteigne tous les Congolais de la région. C’est pourquoi risque ou pas risque, danger ou pas danger, mon pays passe avant toute chose. Ce pays qui est l’un des plus riches de la planète doit être libéré des mains des néo-colonialistes tant occidentaux que les actuels occupants.

T.G : Quelle place donnez-vous dans votre travail de mobilisation au génocide congolais que la communauté internationale semble ne pas trop s’y intéresser ?

A. K. M : Vous ne pouvez pas comprendre, monsieur le journaliste, combien le génocide congolais à l’Est de la Rdc affecte chaque congolais. Plus de 8 millions de morts dans un pays, cela n’est pas une mince affaire. Partout ou nous passons avec le message de l’Apareco, l’interpellation sur le génocide à l’Est de la RDC occupe une bonne place. Tous les congolais aujourd’hui en sont conscients. Tous ont la bonne information. Laissez-moi vous dire quelque chose que j’ai pu noter depuis que je fréquente les congolais dans le cadre de mon travail de mobilisation politique. Les congolais ont atteint une forte maturité politique. Plus que cela, ils sont de véritables bombe  à retardement. Plus personne ne peut tromper encore les congolais suite  au réveil patriotique nous apporté  par  Mr Honoré Ngbanda Nzambo, notre président national.

T.G : Que représente alors Joseph Kabila et son pouvoir aux yeux d’un mobilisateur de l’Apareco que vous êtes ?

A. K. M : Comme nous disons si bien au sein de l’Apareco, Mr Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » est un imposteur parachuté au sommet de notre pays. C’est pourquoi au sein de l’Apareco nous disons que cet homme n’a aucune alternative si ce n’est de quitter le pouvoir dans le plus bref délai avant qu’il ne soit trop tard. C’est ce qui justifie le refus de l’Apareco de partager une quelconque parcelle de pouvoir avec lui. Kabila et ses collaborateurs doivent partir sinon ils seront chassés par la force car nous ne croyons pas  s à ses élections qui sont truquées d’avance.

T. G : Quel impact a votre travail de mobilisation sur le régime  à Kinshasa ?

A. K. M : La prise de conscience générale des congolais de la diaspora comme ceux restés au pays. D’ailleurs il lui sera très difficile de battre E. Tshisekedi aux élections qui se pointent malgré la tricherie qu’il se prépare de faire. La fin de l’imposteur Kanambe est proche. Au sein de l’Apareco on se prépare donc à toute éventualité comme qui dirait « eko inda d’ici peu ». Kabila et son entourage le savent et ils sont dans la panique générale à cause de la puissance du leadership incontestable de notre président national Honoré Ngbanda Nzambo.

T. G : Un dernier message  à vos compatriotes ?

A. K. M : Juste pour leur dire de ne pas se laisser distraire par le pouvoir de l’imposteur. L’Apareco suit de près le développement de la situation sur le terrain. La fin du régime de l’imposteur est proche.

Kasongo Kaninda, le propagandiste de l’Apareco Newcastle appelle les Congolais à chasser l’imposteur Kanambe

 Les Témoins de la Guerre: Avant toute chose voulez-vous vous présenter auprès de nos lecteurs?

Kasongo Kaninda : Je suis Monsieur Kasongo Kaninda. Je suis actuellement chargé de la Communication et Propagande au sein de l’Apareco North East basé à Newcastle. Mon combat politique n’a pas commencé à l’Apareco comme vous pouvez le remarquer. Déjà au pays j’ai été un grand militant et combattant au sein de l’UDPS connu de tous comme le principal parti de l’opposition en RDC. Ensuite dans la diaspora j’ai participé à plusieurs activités politiques de Budu-dia-Congo avant de me focaliser entièrement au combat de l’Apareco.

T.G : Après ce parcours politique dans différents mouvements politiques congolais, pourquoi l’Apareco semble-t-il prendre aujourd’hui le dessus ?

K.K : La raison est toute simple. Tout congolais sensé aujourd’hui devrait reconnaitre l’important travail accompli par le Président national de l’Apareco Mr Honoré Ngbanda qui a eu la géniale idée de créer cette plate-forme politique à la disposition de tous les congolais, toutes sensibilités politiques confondues, afin de conscientiser les congolais sur le danger de voir ce pays nous être dépossédé à jamais. Je partage donc entièrement les idées de l’Apareco et me porte prêt au combat de libération de notre beau et cher pays.

T.G : Comment expliquez-vous alors la politique de la chaise vide aux élections que prône l’Apareco si vous voulez vraiment libérer votre pays ?

K.K : D’abord je dois vous préciser une chose. L’Apareco n’est pas encore un parti politique. C’est une plate-forme de concertation mise en place par le Président Honoré Ngbanda pour bouter hors du territoire national tout étranger avant de parler d’une quelconque élection. Car, on n’organise pas des élections dans un pays occupé comme c’est le cas de la RDC aujourd’hui. Au sein de l’Apareco donc la participation aux élections n’est pas à l’ordre du jour.

T.G : Voulez-vous alors nous parler un peu du rôle que vous jouez au sein de l’Apareco North East basé  à Newcastle?

K.K : Au sein de l’Apareco North East d’Angleterre je suis chargé de la Communication et Propagande. Mon rôle est de propager le message de l’Apareco auprès des congolais de ma région principalement ceux basés à Newcastle, Sunderland, Middlesbrough… Comme vous pouvez le constater ce rôle est déjà bien joué par mon Président urbain Mr Verron Munda, un homme de grande expérience politique suite  à son passé journalistique. Mon rôle est donc de l’épauler dans cette grande tache de mobilisation que nous avons dans la région. Je dirais même que je suis très séduit par son leadership, son courage ainsi que sa volonté de mener ce combat de libération jusqu'à son achèvement.

T.G : Avez-vous un message particulier à adresser au peuple congolais dans le cadre de votre combat de libération au sein de l’Apareco ?

K.K : Mon message au peuple congolais est l’appel  à sortir de la peur. Le Congo est un pays qui ne mérite pas toutes les humiliations qu’il vit aujourd’hui. Le moment est donc venu pour que nous puissions nous débarrasser de la dictature de Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila ». J’appelle donc tous les compatriotes congolais à rester attentifs au signal que donne l’Apareco en vue de l’assaut final contre le régime moribond de l’imposteur Kanambe. Tous donc derrière Honoré Ngbanda et l’Apareco pour libérer le Congo. Je vous remercie.

© correspondant un temoins uk 

Pendant que la tension monte d’un cran dans les états-majors politiques en RDC, les différentes
branches de l’Apareco dans la diaspora, elles, se refusent de sombrer dans la distraction. C’est ceque nos observateurs ont noté ce samedi 3 septembre 2011 à Newcastle, siège de l’une des
branches de l’Apareco/UK où une grande activité politique a dominé la journée des militants ainsi
que les sympathisants de l’Apareco habitant cette partie du pays.
Prenant d’assaut la désormais mythique salle de l’Eglise Baptiste qui avait servi a l’installation du
comité urbain de l’Apareco Nord-Est en Avril 2010, les congolais ne se sont pas empêchés de
toucher du doigt tous les sujets qui fâchent aujourd’hui dans l’exercice du pouvoir en RDC.
Des élections encore une fois sans l’APARECO, les relations avec l’UDPS de E. Tshisekedi, les
assurances d’un future avec l’APARECO aux commandes de la RDC…tels sont les différents
points majeurs qui auront dominé cette importante matinée politique.

Pour répondre à ces pertinentes préoccupations, l’Apareco UK s’est fait représenter au plus haut niveau par un trio de choc à savoir le président de l’Apareco UK Mr Pamphile Widila qui était accompagné par Mr Bokulu, Trésorier général et Conseiller auprès du Président national et enfin

Mr Verron Munda, le président urbain de l’Apareco Nord-Est (Newcastle) et l’hôte de la rencontre.
Dans un langage de bois qui généralement caractérise les cadres de l’Apareco dans ce genre de
rencontre, des réponses appropriées aux préoccupations des congolais ont été apportées. Le trio
de l’Apareco se relayant dans une harmonie parfaite ont d’abord eu des mots justes pour les
prochaines échéances électorales que l’imposteur Kanambe s’évertue à manipuler comme par le
passé. « Rien à attendre de ces élections. Ca sera du déjà vu. On prendra les mêmes et on
recommencera». Devant un parterre des congolais électrisés, les orateurs lancent par ailleurs un
message de mobilisation tous azimuts : « pas de replis dans le combat contre l’imposteur
Kanambe ».
Quant aux rapports avec l’UDPS, les orateurs ont réaffirmé les bons termes de rapports qui lient
les deux organisations politiques tout en soulignant cette majeure différence de vision au sujet des
élections sous occupations étrangères.
Quant aux garanties sur l’apport de l’APARECO une fois aux commandes de la RDC, les orateurs
ont simplement renvoyé les militants dans la vision même de l’Apareco sur le Congo de demaincontenue dans son projet de société. Un Congo démocratique, une gestion transparente, unespace politique avec séparation stricte des pouvoirs classiques (Exécutif, Législatif et Judiciaire)avec le quatrième pouvoir qu’est la presse fonctionnant à merveille.

Comme à l’apothéose la rencontre de Newcastle a vu son comité urbain renforcé avec des
hommes et femmes de talents afin de mener à bien le travail de mobilisation pour les échéances
avenir.
Réagissant à leur nomination respective, Kaninda Kasongo chargé de la Communication etpropagande promet « une bataille sans merci contre les ennemis du peuple congolais ». ChantalDisoloka chargée des Relations publiques se veut plutôt rassurante : « le flambeau de l’Apareco
flottera désormais partout dans le Nord-Est de l’Angleterre ». Diaka Mambueni se veut plus
coriace et promet de « dénicher toutes les poches de résistance des anti-changements du Nord-
Est ». Mention spéciale au redoutable Alfred KINDA MALUKISA pour l’important travail de
mobilisation abattu dans le Tyne and Wear et le Teeside.
Le comité de l’Apareco Nord-Est se présente comme suit :
Président urbain : Verron Munda
Vice Président chargé des questions politiques : Philo Mungama Ngata
Vice-président chargé des questions financières : Michel Kiese
Secrétaire : Serges Kanyinda
Conseiller chargé de la Mobilisation in Tyne and Wear : Izy Kalonji
Conseiller chargé du Protocole : Petelo Mansilua
Conseiller chargé de la Jeunesse : Douglas Ilangwa
Conseiller chargé de Sports et Loisir : Odi Lomami
Conseiller chargé de la Mobilisation in Teeside : Diaka Mambueni
Conseiller chargé de la Communication et propagande: Kasongo Kaninda
Conseillère chargée de la Femme et Famille : Arlette Mukuku Zibu
Conseillère chargée des Relations Publiques : Chantal Disoloka
(De notre Correspondent dans la région)
Ci-dessous quelques temps forts de cette rencontre :

Par correspondent Congo Horizons, UK Northeast

L’APARECO Diaka Mambueni veut voir Joseph Kabila en prison pour massacres contre la population congolaise

(Propos recueillis a Sunderland par notre Correspondent)

Témoins de la Guerre: Je suis très frappé par l’ampleur du travail que tu fais ici à Sunderland dans le cadre de l’Apareco. Qui êtes-vous exactement au niveau de l’Apareco ?

Diaka Mambueni : Merci monsieur le journaliste de m’avoir visiblement surpris ici à Sunderland en train de faire mon travail de mobilisation dans le compte de l’Apareco. Je dois surtout vous remercier de l’intérêt que vous manifestez sur ma modeste personne, ce qui me fait dire que l’important travail de mobilisation des congolais que je fais ici dans le Tyne and Wear porte réellement ses fruits au point d’attirer l’attention des medias sur ma modeste personne. Oui, je suis Monsieur Diaka Mambueni, chargé de mobilisation et propagande au sein de l’Apareco North-East. Les autorités de l’Apareco UK m’ont confié cette importante mission dans le cadre de la libération de notre pays telle que prônée par l’Apareco. Vous comprendrez donc que pour libérer la RDC, les Congolais doivent être suffisamment informés sur les enjeux qui tuent notre pays.

T.G : Voulez-vous alors nous parler de ces enjeux dont vous faites justement allusion ?

D. M : Les enjeux sont multiples. Mais permettez que je puisse épingler juste ce point important qui occupe l’attention de l’Apareco. Au sein de l’Apareco nous pensons que le principal enjeu aujourd’hui en RDC est la présence envahissante et destructrice des Rwandais. Ils ont réussi à s’infiltrer et à brader la nationalité congolaise. Aucun congolais ne peut tolérer ce qui se passe avec un Joseph Kabila à la tète de notre pays. Pour nous les patriotes congolais membres de l’Apareco, ceci est une injure grave contre l’ensemble du peuple congolais. C’est pourquoi dans l’Apareco nous disons que Kabila doit partir ainsi que tous ses mercenaires tribaux qui ne sont au Congo que pour piller les richesses de notre pays.

T. G : La politique étant le monde des compromis, l’Apareco est-il prêt a composer dans un même gouvernement avec Kabila ?

D. M : Vous venez, monsieur le journaliste de toucher à un point très important. C’est même ici qu’il faut comprendre le sens même du combat de l’Apareco. L’Apareco ne pourra jamais composer avec celui que nous appelons « Mwana Ndeke » entendez l’enfant d’un oiseau, les congolais comprennent bien cette expression. Vous avez remarqué que nous n’avons jamais répondu à aucun appel tant pour des élections, encore moins pour la participation à son gouvernement. Kabila n’a qu’une solution : quitter le pouvoir et se mettre à la disposition des Courts et tribunaux pour des massacres et détournements de fonds publics commis dans ce pays.

T. G : Vous voulez donc dire que Kabila doit être jugé et condamné ?

D. M : Au sein de l’Apareco nous ne présentons aucune alternative sur ce sujet. Kabila n’a qu’une place qui lui convient : c’est la prison.

T. G : Quelle est alors la réponse des congolais que tu mobilises au nom de l’Apareco ?

D. M : Tous sont unanimes avec nous. Les congolais que nous voyons chaque jour lors de nos campagnes contre la dictature de Kabila ainsi que l’occupation rwandaise de la RDC attendent juste la petite goute d’eau qui va déborder le vase pour le chasser. Je vous promets monsieur le journaliste, les jours de Kabila au pouvoir sont désormais à compter. Nous y travaillons chaque jour.

T.G : As-tu un mot de la fin pour nos lecteurs qui vont vous lire ?

D. M : Mon mot de la fin est plutôt mes remerciements aux autorités de l’Apareco surtout mon président national, le tres respecté monsieur Honore Ngbanda qui a eu cette noble idée de réveiller les congolais dans le cadre de ce combat. Je salue aussi particulièrement mon président urbain monsieur Verron Munda dont je salue le courage politique et la ténacité dans la conduite des affaires de l’Apareco dans le North East de l’Angleterre. Je suis convaincu que notre combat de libération arrive bientôt à son aboutissement afin que le Congo revienne aux Congolais et que le développement démarre. Je vous remercie.

@APARECO Grande Bretagne

magine being asked to move home at a moment's notice, without knowing where to. That's the reality facing hundreds of
asylum seeker families in Glasgow. By Jackie Kemp


Akakpo Kangni-Soukpe is worried. "We do not want to go anywhere. We are enjoying Glasgow. Our neighbours have been so kind," he says. Now we have to leave again – our home and the people we love and who love us."

Kangni-Soukpe is an asylum seeker from Togo. Since 2007 he has been living in Glasgow. But he has just received a letter from the UK Border Agency, part of the Home Office, saying that he and his family must be ready to leave the home they have known for three years at any time – taking only two bags and without knowing where they are going except that it will be "somewhere within the Scotland region". It has come as a huge shock.

The Kangni-Soukpes are not an isolated case. There are more than 600 other families housed by Glasgow city council who have been thrown into confusion by the Border Agency.

The local community is rallying round. Worried refugees, along with friends and supporters, attended a meeting at Stow College last week, where more than 100 asylum seekers study. They were urged to resist eviction. "If someone touches you, that is assault. If someone tries to take your belongings, that's theft," Phil Jones, a volunteer at asylum seeker support charity the Unity Centre, told them. "The letter is written to scare you and that's because the Home Office knows that if you refuse to move, they have a big problem."

By way of encouragement, he told them how a mass campaign in the city to resist the movement of hundreds of asylum seekers to what he described as "substandard housing" was halted four years ago when 20 families, with the support of dawn patrols and pickets, resisted removal until more than £4m was spent upgrading the facilities.

The crisis in Glasgow has been triggered by the Border Agency announcing two weeks ago that it has ended its contract with the council to house asylum seekers, leaving hundreds of families needing  a new home.

Glasgow social services department says it was not informed in advance about the agency's plans.

"While the council acknowledges the right of the UKBA to terminate the contract for accommodation and support to asylum seekers, we condemn the insensitive and thoughtless approach which they have taken to the communication of their decision to the individuals and families concerned," said the leader of the council, Gordon Matheson, the SNP group leader James Dornan, the Lib-Dem leader Paul Coleshill, Green party co-convenor Danny Alderslowe and independent councillor Colin Deans in a joint statement.

"To now have families, some of whom have been settled in the city for years, threatened with eviction and relocation with minimal notice is unacceptable," they added.

[This update was added on 24 November 2010: This story failed to include comments on the Glasgow situation from the UK Border agency. The comments were provided by the agency on 17 November, when the story was in preparation, and should have been included under normal Guardian reporting practice.

[In the agency's version of events, expressed in the comments, a finger seems to be pointed at the Glasgow council when it comes to termination of the contract: "The UK Border Agency and Glasgow City Council held discussions over a period of months to review the asylum housing contract. Despite UK Border Agency offering an increase on what are, already, the highest accommodation charges in the UK outside London we were unable to reach an agreement. Glasgow City Council invited UK Border Agency to terminate the contract and contractually we were left with no other option but to do so," said the statement, issued in the name of Phil Taylor, Regional Director for the UK Border Agency in Scotland and Northern Ireland.

["We are very hopeful that the majority of the asylum seekers affected by this change of contract will remain in their current accommodation," the statement went on. "If a move to new accommodation is required we will aim to give at least 14 days notice, where possible, and the costs of the move will fall to the new accommodation provider and not to the asylum seekers themselves."

[The agency said that it aimed to go on working with the council during the transition, adding that "letters have been sent to all asylum seekers currently housed by Glasgow City Council, explaining what could happen if they are required to move accommodation and further communication is planned to keep asylum seekers advised of future developments."] [See footnote]

According to Jones, the decision was triggered largely by a fall in the numbers being sent to the city and the success of the local community in preventing deportations when claims for asylum have been refused by the Home Office. He argues that a long campaign of direct action and political protest has made it virtually impossible to remove failed asylum seekers from the city. "We have created a space in Glasgow where the Home Office is a bit less powerful than it is elsewhere in the UK."

More than 22,000 asylum seekers have been housed in Glasgow over the last decade as a result of Labour's "dispersal policy", which sought to house asylum seekers away from the south-east of England. Now Glasgow has the largest number of asylum seekers in the UK, with around 2,300 housed in the city – 54% by the council.

Statistics are not available by region but most of those 22,000 applications are likely to have been refused. Subsequently, some will have left voluntarily. But hundreds, if not thousands, of failed asylum seekers who have been sent to Glasgow over the last decade may still be living in the city as illegal immigrants. Nationally, there were more than 6,000 forced removals last year. Local charities in Glasgow estimate that perhaps one or two families a week are currently being detained at the Brand Street immigration reporting centre, with some of these being freed on appeal and others deported.

Now, as Britain takes fewer asylum seekers than it used to – it is now 13th in the list of EU members taking them – the number being sent to Glasgow has fallen by more than half.

The Border Agency has not confirmed what it intends to do with the 600 families in Glasgow but it is likely they will be transferred to voluntary or private sector providers. Many asylum seekers fear they will be shunted around and lose any stability in their lives.

"My friend [who has been housed by the private sector] has been moved nine time in two years. She always has to have her bags packed. They never tell her where she is going but usually it is a completely different part of the city where she doesn't know anyone," says Tende Ani, who has been in Glasgow since she fled Zimbabwe five years ago.

When asylum seekers are moved from local authority provision there is no obligation to house them in the same district or even the same city, except in very rare cases. They have no control over where they are sent. Equally, councils cannot control where they are housed if it is in private accommodation. So the asylum seekers in Glasgow could end up housed in other cities in Scotland or elsewhere in the city.

Danny Alderslowe, Green party councillor for the city's Southside Central ward, says: "There are huge implications of this, for the council and for the asylum seekers. My main concern is that private companies provide a very poor standard of housing. It is all done in the cheapest way possible. They also regularly transfer people from one side of the city to another at short notice. They make life really stressful for people who are already stressed."

Jamie O'Neill of Positive Housing in Action, another charity supporting asylum seekers in the city, says: "We know of many cases of people being transferred several times in a year, including families with children. It does make it harder for people to integrate into their communities."

The situation in Glasgow seems to be symptomatic of a growing trend towards outsourcing housing for asylum seekers.

Last month, Birmingham council terminated its contract with the Border Agency. A spokesperson for the council said the housing was required for local families but that it would take back the accommodation gradually as the asylum seekers left.

In Glasgow, many former asylum seekers who now have leave to remain have put down roots in the city. "Life is hard in Glasgow," says Albert Mbaki, a former asylum seeker, who has opened an African hairdresser-cum-deli in the city. The Mbakis are clinging on by their fingertips, in a street where few businesses appear to thrive. "We want to work but it is hard to find a job," says Mbaki, once a maths teacher in the Democratic Republic of Congo. "And the climate is not easy either. But the people of Glasgow are very approachable. We do feel welcome."

But for more than 600 families who found in Glasgow a place they could begin to call home, the future looks as troubled and uncertain as the bleak November sky above their adopted city.

Some names have been changed.

This article was amended on 22 November 2010. The original said that the UK Border Agency had declined to comment on this story. This has been deleted, as the agency had indeed commented, on 17 November, when it sent a statement that had been issued to media earlier in the week. The story has now been updated to include an edited version of the UKBA comments. A published correction will also appear in the Guardian's Corrections & clarifications column.

Mireille Mbimbo a national of the Democratic Republic of Congo (DRC) and a resident of Bradford, is currently being held at Yarls Wood IRC and due to be forcibly removed from the UK on Thursday 25th March @ 19.00 on Kenya Airways flight KQ101, from London Heathrow to Nairobi for onward transit on flight KQ554 to Kinshasa.

Mireille  first sought asylum in the UK on 31st July 2008. She is a member of the political opposition group Mouvement de Libération du Congo (MLC) and fears for her life and her liberty if she is returned to DRC. Outstanding arrest warrants exist for both Mireille and her brother, as a result of their participation in demonstrations against the government.

Human Rights Watch, World Report 2010 - DR Congo - Events of 2009

http://www.unhcr.org/refworld/docid/4b586cf5c.html

Violence and brutal human rights abuses increased in the Democratic Republic of Congo throughout 2009. Two military campaigns by the Congolese army, in the east and north, resulted in a dramatic increase in violence against civilians by both rebel and government forces. At least 2,500 civilians were slaughtered, over 7,000 women and girls were raped, and more than 1 million people were forced to flee their homes.

U.S.  Country Reports on Human Rights Practices DR Congo in 2009

In all areas of the country, the government's human rights record remained poor, and security forces continued to act with impunity throughout the year, committing many serious abuses, including unlawful killings, disappearances, torture, and rape. Security forces also engaged in arbitrary arrests and detention. Severe and life-threatening conditions in prison and detention facilities, prolonged pretrial detention, lack of an independent and effective judiciary, and arbitrary interference with privacy, family, and home also remained serious problems. Security forces retained and recruited child soldiers and compelled forced labor by civilians.  Government corruption remained pervasive. Security forces at times beat or threatened local human rights advocates and obstructed or threatened UN human rights investigators. Discrimination against women and ethnic minorities, trafficking in persons, child labor, and lack of protection of workers' rights continued to be pervasive throughout the country.

http://www.state.gov/g/drl/rls/hrrpt/2009/af/135947.htm

"Violence against women and girls"

High levels of rape and other forms of sexual violence continued throughout the country, with a concentration in eastern DRC, where armed group fighters and government soldiers were the principal perpetrators. Many women and girls suffered gang rape, were raped more than once or were held in sexual slavery. Most victims did not receive medical or psycho-social care. The majority of rapists went unpunished and women and girls lived in fear of reprisals if they reported the rape or even sought medical treatment." (Amnesty International Report 2009 - DR Congo)

It is almost certain that Mireille will face immediate arrest and ill-treatment if she is returned to DRC.

Whilst living in Bradford, Mireille has been a member of the BIASAN women's group and the African Women's Circle at Great Horton Methodist Church. She had just re-started English lessons and was keen to improve her language skills sufficient to be able to use the Business Diploma, which she had gained in the DRC, to ultimately gain employment and contribute to the country that has become her home.

What you can do to help / Please take urgent action now

1) Email/Fax/phone, Sam Okwulehie, Group Area Manager Kenya Airways and urge him not to carry out the forced removal of  Mireille Mbimbo - you can use the model fax ' Mireille MbimboKA.doc' attached. You can copy, amend or write your own version - please quote,  Mireille Mbimbo to be forcibly removed from the UK on Thursday 25th March @ 19.00 on Kenya Airways flight KQ101, from London Heathrow to Nairobi for onward transit on flight KQ554 to Kinshasa.

Email: contact@kenya-airways.com

Fax: 020 8745 5027 - from outside the UK + 44 20 8745 5027

Phone: 020 8759 7366 - from outside the UK + 44 20 8759 7366

2) Email/Fax, Rt. Hon. Alan Johnson MP Secretary of State for the Home Office asking that  Mireille Mbimbo, be granted protection in the UK. Attached "model letter" MireilleMbimboAJ.doc which you can copy/amend/write your own version (if you do so, please remember to include her HO ref M1375563 )

Fax: 020 8760 3132(00 44 20 8760 3132 if you are faxing from outside UK)

Emails: Privateoffice.external@homeoffice.gsi.gov.uk
UKBApublicenquiries@UKBA.gsi.gov.uk

"CIT - Treat Official" <CITTO@homeoffice.gsi.gov.uk>

Please let the campaign coordinator of an emails/faxes sent:

Will Sutcliffe

Sanctuary for Mireille Mbimbo Campaign

c/o Touchstone

32 Merton Rd

Bradford

BD7 1RE

T. 01274 727525 (721626)

F. 01274 395324

Registered Charity No 1119463

www.beaconbradford.org

Each month 45,000 people die in Congo yet, on this subject, in this age of the Internet, the silence is deafening. There is a media blackout about the war for resources, waged by multinationals and Western governments, which fuels the ‘High Tech’ genocide in the east of the country.

This war was launched by nations that sensed – rightly – that our desire for coltan and diamonds and gold far outweighed our concern for the lives of black people. 

They knew that we would keep on buying, long after the UN had told us time and again that people were dying to provide our mobiles and games consoles and a girl’s best friend’ (Johann Hari, cited in The Independent, 5^th May 2006).

Between the 18^th and the 24^th October 2009 students all over the world will, once again, try to break this Silence during International Congo Week.

If the international community cannot, or will not, take control of the situation which has led to 6 million deaths since 1996, what hope can there be for any action against the abuse by the Congolese government of human rights and those who defend them?

The human rights situation in the Democratic Republic of Congo continues to deteriorate. Serious violations, such as arbitrary executions, rape, torture and cruel, inhuman and degrading treatment are pervasive, committed mostly by the army, police and intelligence services. This information cannot be published by Congolese human rights associations, because human rights defenders remain at grave risk in the Democratic Republic of Congo (UN, 2009).

Congolese human rights defenders are frequent targets of intimidation, judicial proceedings, stigmatisation, death threats, detentions, arbitrary arrest, gender based violence, ill treatment in prison including refusal of access to lawyers and medical care, physical assault and in some cases torture or even killing by DRC government agents or armed groups. Many defenders have been forced into hiding or exile as a result of the threats against their security and the safety of their families (Front Line, 2009).

Human rights defenders, including lawyers and members of non-governmental organisations, “face illegitimate restrictions of their right to core freedoms, i.e. freedoms of opinion and expression, peaceful assembly and association,” said Margaret Sekaggya, the Special Rapporteur on the situation of human rights defenders, who visited DR Congo from  21 May to 3 June.

The Congolese government must stop threatening human rights defenders, who are trying to reveal the appalling abuses, and preventing any understanding of the Congolese conflict.

The Congolese government must stop threatening human rights defenders, who are trying to reveal the appalling abuses, and stop trying to prevent any understanding of the Congolese conflict.

Johnny Voza Zola 

Student Action for Refugees

University of Teesside